Dimanche 22 Novembre 1981 Le Matin
Lundi 23 novembre 1981 au matin
A 5 heures par habitude, à mon habitude, je me levais difficilement, mais discrètement, pour mes ablutions matinales, douche, rasage,
AL se levait au moment où lodeur du café atteignait ses narines, ce qui également fut le cas ce jour. Mais à priori, les yeux pas tout à fait en face des trous. Elle sétait quand même donné un coup de peigne et avait mis un peignoir, qui ne cachait rien, ce qui involontairement ou non me donna des idées. Des idées bien précises, elle me faisait envie, malgré ce que lon avait fait la veille, je la voulais, javais envie de la prendre, de la baiser et je dirais instinctivement je me mis à bander et bander dur.
Alors quelle allait récupérer les toasts à la cuisine, je la suivais et par derrière je lenlaçais.
AL : « Arrêtes,
quest ce que tu fais,
» et pendant cette question javais ouvert le peignoir et moccupais de ses seins, sachant que cétait un endroit particulièrement sensible et qui pouvait, bien pris, me permettre de pousser lavantage.
Moi : « Jaime tes seins,
et je nen ai pas profité hier soir,
»
AL : « Arrêtes,
jai cours ce matin,
arrêtes,
» mais pendant ses réflexions javais parcouru du bout des lèvres son cou, ce qui immanquablement la faisait frissonner, ce qui était de bonne augure. Je la faisais pivoter et avant quelle ne réagisse, je me mettais à sucer et téter ses seins, dont les tétons ne tardèrent pas à réagir et à durcir fièrement. Cest alors, que se laissant faire, elle posa une main sur ma tête la maintenant pour que je continue à moccuper des ses beaux nénés. Mais ne perdant pas lavantage de la situation, ma main droite descendit plus bas vers son entrejambe où jeu juste la place de glisser une main et la poser sur son minou. Une douce caresse sur cette chose douce, chaude et humide,
Cétait linstant où un doigt senfonçant doucement dans son fourreau, cette intrusion était acceptée, alors les cuisses sécartaient et comble de bonheur, le bassin savançait pour mieux se planter sur ce doigt curieux.
Déjà appuyée contre le plan de travail de la cuisine, juste un petit effort elle était assise, prête à se laisser prendre, cest alors que mabaissant je lui disait : « Sortant du lit, comme ça,
je veux gouter à ta chatte,
elle est toute chaude,
elle sent bon,
» et plongeant entre ses cuisses souvrantes au maximum, et le nez dans sa toison, je humais son odeur chaude et du bout de la langue, je goutais à lhumidité de ses grosses lèvres, la réaction fut rapide :
AL : « Arrêtes,
viens prends moi,
fais moi lamour,
non baises moi,
dépêches toi,
» me redressant, le short, le caleçon furent descendus rapidement. Alors AL guida mon engin dans sa grotte damour, ouverte chaude et accueillante et là sans attendre, je ne lui faisais pas lamour, non, je la baisais avec envie et peut-être avec brutalité, tant et si bien, quelle partit vite : « Oui,
cest bon,
jaime quand tu me prends comme ça,
oui,
baises moi,
baises moi fort,
oh cest bon,
ne tarrêtes pas,
OH,
Oui,
encore,
OOOOOHHHH,
OUIIIIIIIII,
» et pendant quaccroché à sa taille, je me vidais dans son fourreau, elle fut saisi dun gros et brutal spasme qui la fit se contracter autour de moi, pour enfin se laisser aller contre moi et glisser au sol : « Cest malin,
quelle tête je vais avoir en cours,
» réalisant lheure, je remontais caleçon et short et filait sur les chantiers.
(AL assise à la table de la salle à manger et prenait son café, quand Véro arriva derrière et posa ses mains sur ses épaules. AL sursauta : « Déjà levée,
tu ne commences quà 9,00 heures »
Véro : « Exact, mais jai entendu le départ de Jean,
et quelques bruits avant,
alors,
»
AL : « Alors quoi,
ça ma bien réveillé,
les bruits avant le départ de la voiture,
et jai pensé quun café me réveillerait,
» Ce faisant AL se leva pour aller chercher un café pendant que Véro continuait «
et que je pourrais profiter de toi,
quen penses-tu ?
»
AL : « Tu es folle,
quimagines tu ?
on na pas le temps,
»
Véro : « Tu dis pas non,
viens, poses le café,
» alors quelle se levait, elle dégagea le peignoir et prit AL dans ses bras en disant : « Je veux te gouter,
gouter de ton plaisir avec Jean,
assieds toi,
» et la poussant contre et sur la table pendant que AL disait : « Tu ne vas pas faire ça,
»
Véro lui ferma la bouche dun baiser, puis descendit, au passage elle soccupa de ses seins juste un petit coup de langue, pour faire dresser les tétons enfin, pour enfin arriver à sa chatte qui était accessible, les cuisses de AL sétant ouvertes .
AL : « Tu es folle,
arrêtes,
»
Véro: « Mais non,
tu en as envie,
je suis sur que tu mouilles,
et tu aimes mobéir,
ce nest plus ta tête qui commande,
cest ton minou,
et tu aimes,
ouvres toi,
que je te goutes,
» et AL obéit, se laissant aller sur la table, relevant ses jambes et ouvrant largement ses cuisses en disant « Oui, viens,
tu me rends folle,
prends moi,
» et Véro entreprit de lécher avec ardeur, la chatte chaude et trempée de AL qui se laissa faire et même lencouragea : « Oui,
continues,
cest bon avec la langue,
encore,
rentres,
tes doigts,
oui,
fais moi jouir,
jaime que tu me prennes,
OOOOHHH,
continues,
ne tarrêtes pas,
OUIIIIIIIIIIIII,
»
Et, avec un spasme brutal elle se contracta, bloquant la tête de Véro entre ses cuisses, alors quelle continuait à la masturber avec énergie, ce qui entraina une nouvelle série de spasme, qui la laissa affalée sur la table. Enfin ayant récupéré son souffle et ses esprits, son regard tomba sur la pendule sur le buffet : « Bon sang,
je vais être en retard,
» en se précipitant dans la chambre pour shabiller. Elle fut rapidement prête et alors quelle Véro lui cria : « Mercredi début daprès-midi,
comme tu nas pas cours
je tattends,
» )
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